INSPIREZ-VOUS LA BULLE DE DETENTE PRESENTATION DE LA SOPHROLOGIE ET LA RELAXATION POUR TOUT CEUX QUI SOUHAITENT FAIRE LE CHEMIN VERS LA CONSCIENCE ET L 'EXPLORATION DE LEUR MONDE INTERIEUR EN VUE DU BIEN ETRE ET DE L'HARMONIE .EQUILIBRE ET DEVELOPPEMENT PAR LA RELAXATION .La plus grande révolution de notre génération est la découverte que l'être humain, en changeant l'attitude de ses pensées intérieures, peut changer les aspects extérieurs de sa vie. William James (1842-1910) Lien vers mon blog poésie et photos http://inspirationphotoinstacomment.over-blog.com/
Les vertèbres dorsales sont juste au-dessus des vertèbres lombaires. Elles s'articulent avec les côtes qui constituent la cage thoracique. Nous avons 12 vertèbres dorsales reliées de chaque côté à 12 paires de côtes, l'ensemble formant une sorte d'armure pour protéger le cœur et les poumons.
Les vertèbres dorsales sont moins grosses que les vertèbres lombaires et elles sont plus mobiles.
Les muscles des épaules prennent naissance au niveau des vertèbres dorsales. Ils sont particulièrement exposés à la survenue de contractures douloureuses.
En pratique : vous êtes debout, le dos posé contre un mur, avec les pieds légèrement décollés du mur.
Vous essayez de vous grandir, d'atteindre votre taille maximale en levant les bras le plus haut possible et en poussant le sommet du crâne vers le haut, menton rentré. Tenez cette position pendant 6 secondes, en respirant normalement, puis reposez-vous 6 secondes.
Vous pouvez également étirer votre dos en vous mettant à quatre pattes, le visage vers le sol. D'un côté vous étirez un bras vers l'horizon, de l'autre côté vous étirez une jambe derrière vous. Vous tenez aussi 6 secondes, puis vous changez de côté.
A quoi ça sert : cela étire les muscles qui se trouvent le long de la colonne vertébrale tout en les décontractant.
Avez-vous remarqué comme les personnes qui souffrent de mal de dos ont tendance à se voûter et à rentrer leurs épaules ? Cela traduit en fait une fatigue musculaire au niveau des épaules : les muscles n'arrivent plus à bien maintenir le dos donc on a plus de mal à se tenir bien droit.
En pratique : allongée sur le dos, vous allez, comme un nageur de crawl, soulever une main et aller chercher le plus loin possible un appui à l'arrière de votre tête. Il faut inspirer profondément pendant la phase d'élévation du bras, puis revenir à la position initiale en soufflant, alors que l'autre main se prépare à faire le même geste.
A quoi ça sert : cet exercice permet de réveiller les muscles du haut du dos et des épaules. Il est à la fois dynamisant et relaxant.
Quand on a mal au dos c'est souvent dans le bas, au niveau de la courbure des reins. Pourtant ce ne sont pas les reins qui sont en cause comme on l'entend parfois, ce sont les vertèbres du bas de la colonne vertébrale.
Ces douleurs lombaires touchent 4 personnes sur 5 au cours de leur vie. C'est la seconde cause d'arrêt maladie, chez les moins de 45 ans, après le rhume classique. Plus on vieillit, plus l'incidence de la lombalgie augmente : elle concerne la moitié des personnes de plus de 60 ans.
Ces vertèbres, qui se situent entre le sacrum et les vertèbres dorsales, sont appelées vertèbres lombaires. Nous en avons 5 au total. Elles sont suffisamment massives et peu mobiles latéralement pour supporter une bonne partie du poids du corps. Elles subissent d'ailleurs de lourdes contraintes au quotidien.
Pour mieux supporter ces contraintes du quotidien, le dos doit être souple et musclé. Plus il est entretenu, plus il est mobile, plus il est armé contre les mauvaises postures et les mouvements inhabituels.
Une des causes les plus fréquentes de la lombalgie, ce sont les élongations et les entorses des muscles et des ligaments de la colonne vertébrale. Cela peut se produire si vous portez une charge trop lourde ou que vous faites un geste inhabituel ou encore après avoir fait du sport. En particulier, lorsqu'un disque vertérbal se coince brusquement entre deux vertèbres, par exemple lorsqu'on porte un objet trop lourd, il peut se fissurer et entraîner une forte douleur, voire une hernie.
Les mauvaises postures, le surpoids, la fatigue sont aussi des causes fréquentes de douleurs lombaires.
L'arthrose (détérioration du cartilage qui protège les articulations) et l'ostéoporose (diminution de la densité osseuse avec risque de fracture vertébrale) peuvent également causer des lombalgies. La spondylarthrite ankylosante peut aussi être responsable de raideurs et de douleurs lombaires.
Les personnes qui souffrent de mal de dos décrivent souvent une raideur matinale, donc l'exercice est adapté aux démarrages difficiles.
En pratique : allongée sur le dos, mettez un linge sous le creux du dos afin de bien sentir l'appui des lombaires sur le sol.
Pliez vos jambes et rapprochez vos genoux vers votre poitrine.
A quoi ça sert : en allongeant et en étirant le bas du dos, cela va relâcher les articulations lombaires, tout en faisant travailler les muscles fessiers.
Cet exercice est adapté pour les personnes qui gardent des positions assises prolongées ou qui piétinent debout toute la journée.
En pratique : allongée sur le dos, les bras le long du corps, vous allez décoller les fesses du sol tout en gardant les pieds à plat sur le sol et maintenir la position en restant en apnée.
Attention à ne pas vous cambrer, c'est le bassin en entier qui doit bouger.
A quoi ça sert : on fait travailler les muscles spinaux et les muscles fessiers, qui assurent une bonne protection du dos et participent ainsi au renforcement de la colonne lombaire.
Une vertèbre est un os court dont l’empilement constitue la colonne
vertébrale (appelée également rachis) chez les animaux vertébrés.
Chez l'Homme on compte 33 vertèbres, dont cinq sont soudées pour former le sacrum, et quatre (environ) pour former le
coccyx.
Les 24 vertèbres individualisées se répartissent en :
Les vertèbres cervicales sont les sept premières vertèbres (en haut) de la colonne vertébrale et sont dénommées par la lettre C : de C1 à C7.
Les deux premières sont particulières et s'appellent l'atlas et l'axis.
La première vertèbre cervicale est l'atlas, ainsi nommée car c'est elle qui porte directement le poids du crâne (par analogie au dieu grec Atlas qui porte le monde).
La seconde vertèbre cervicale s'appelle l'axis, car elle intervient dans les mouvements de rotation du crâne en permettant à l'atlas de pivoter au-dessus
d'elle. Le processus odontoïde (ou dent de l'axis) est une saillie osseuse verticale située à la face supérieure du corps de l'axis.
Ce processus odontoïde sert de pivot pour l'atlas et contribue à maintenir cette vertèbre en place pour protéger la moelle épinière.
Ces deux vertèbres de structure particulière sont celles qui assurent la mobilité particulière de la tête (comme dire oui ou non).
Ce sont les plus petites vertèbres. Leur apophyse épineuse est courte, à l'exception de celle issue de C7 qui est la plus facilement palpable sous la peau.
Les cinq autres vertèbres cervicales n'ont pas de nom mais sont appelées par leur numéro. Chaque vertèbre comprend un corps (partie
antérieure ou frontale) et une arche (partie postérieure, ou arrière) ;
Le corps de chaque vertèbre de la colonne soutient le poids des vertèbres précédentes (et du crâne), alors que l'arche sert à former une sorte de canal le long de la colonne
pour enfermer et protéger la moelle épinière.
Chaque vertèbre cervicale possède un trou dans chaque apophyse transverse le foramen transversaire qui laisse passer l'artère vertébrale.
C7 est une vertèbre de transition entre le rachis cervical et le rachis thoracique.
Elle est aisément palpable sous la peau : en descendant le long de la nuque, c'est la première grosse saillie sous la peau.
C'est à cette hauteur que se forme la bosse de bison, qui est une forme de cellulite.
Les vertèbres dorsales sont les douze vertèbres du milieu de la colonne vertébrale et s'articulent avec les côtes. Elles sont dénommées par
les lettres T ou D : de T1 à T12, ou de D1 à D12. Il fait suite au rachis cervical et précède le rachis lombaire.
Le rachis dorsal forme une courbure postérieure appelée cyphose.
La plupart des vertèbres dorsales possèdent des facettes costales sur le corps vertébral, et des apophyses transverses. Il n'y a pas de trous dans les
apophyses transverses (comme dans les vertèbres cervicales). Elles présentent également une apophyse épineuse qui pointe vers l'arrière et vers le bas, et un trou vertébral
circulaire.
Le rachis dorsal forme une courbure postérieure appelée cyphose.
Il se compose de cinq vertèbres lombaires, dénommées par la lettre L : de L1 à L5. Le rachis lombaire forme une courbure antérieure
appelée lordose.
Il fait suite au rachis dorsal et précède le rachis sacré.
Le corps des vertèbres lombaires est beaucoup plus gros que celui des vertèbres dorsales ou cervicales. Le trou de conjugaison est généralement triangulaire, alors que l'apophyse épineuse forme une pointe vers l'arrière et est rectangulaire, ou en lame de couteau.
Les cinq vertèbres sacrées sont soudées à l'âge adulte, et ne forment plus qu'un seul bloc osseux appelé sacrum.
Il se compose de cinq vertèbres sacrées ou sacrales, dénommées par la lettre S : de S1 à S5.
Il est incliné d'environ 45 degrés en arrière.
Il forme la partie postérieure du pelvis et en assure ainsi la solidité.
À la partie proximale (inférieure) du sacrum, on retrouve l'articulation sacro-coccygienne, qui l'articule avec le coccyx. C'est une articulation cartilagineuse ne permettant
quasiment aucun mouvement.
Il est plus connu sous le nom de coccyx. Le coccyx est un vestige osseux. Il correspond à la queue des mammifères.
Il se compose de quatre ou cinq vertèbres coccygiennes soudées entre elles. Contrairement aux autres, elles ne sont pas dénommées par une lettre.
Il fait suite au sacrum et constitue l'extrémité inférieure du rachis. Il est déjeté en avant.
Il ne présente pas grand intérêt en anatomie, ni en médecine en général, si ce n'est qu'il est souvent le siège de douleurs lors d'un choc violent sur le postérieur ou même de
fractures.
Chaque vertèbre s'articule avec la vertèbre sus et sous-jacente (sauf l'atlas qui s'articule avec les condyles occipitaux et bien sûr les vertèbres coccygiennes).
Les vertèbres s'unissent par trois articulations :
La solidité est assurée par :
La colonne vertébrale n'est évidemment pas isolée dans l'organisme, elle en est même le pilier et présente à ce titre de nombreux rapports avec les structures environnantes.
Outre la vascularisation proprement dite du rachis, il y a le passage de vaisseaux dans ou à proximité directe de la colonne.
L'artère vertébrale
Elle est une branche de l'artère subclavière (sous-clavière), et monte dans le canal formé par la superposition des foramens transversaires (canal transversaire) au niveau du
rachis cervical.
L'aorte thoracique (ensuite aorte abdominale)
Elle est la continuité de l'aorte et descend le long du rachis thoracique à sa paroi antérieure. Elle est décalée sur la gauche par rapport à l'axe de la colonne et permet
ainsi, par exemple, de s'orienter sur une image médicale. Au niveau du rachis lombaire, elle donne les deux artères iliaques communes.
L'artère radiculaire antérieure d'Adamkiewicz
L'artère radiculaire antérieure d'Adamkiewicz ou grande artère radiculaire antérieure d'Adamkiewicz du nom d'Albert Adamkiewicz, est une artère amenant du sang oxygéné vers la
moelle épinière.
C'est l'ensemble formé par l'œsophage et le larynx puis ensuite la trachée. Il débute en regard de C4 et se continue jusqu'à T4 (où la trachée se divise en deux bronches). Il est médian, c'est-à-dire qu'il chemine juste devant les corps vertébraux.